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Almanach du 2 Juillet

1976
Au cours de l'été 1976, on assiste à une situation très paradoxale - la sécheresse atteint des sommets dans tout le Nord-ouest alors que les régions Méditerranéennes ont droit à un temps plus humide que la moyenne - ceci est dû à la présence d'un anticyclone qui reste vissé sur l'Europe du Nord pendant plusieurs mois, lequel empêche les perturbations atlantique de circuler sur la France - les régions Méditerranéennes sont moins protégées par cet anticyclone, d'où la présence d'orages souvent violents. Du 22 juin au 8 juillet : 3ième vague de chaleur - entre le 23 juin et le 7 juillet (soient pendant 2 semaines consécutives), les températures atteignent ou dépassent 35° sur toutes les régions du Nord et du Nord-ouest - en revanche, la valeur maximale observée en France ne dépasse jamais 37° et on peut dire que ces très fortes chaleurs concernent le tiers du pays - à Paris, l'effet de ville maintient des températures très élevées en cours de nuit - le 4 juillet le minimum ne descend pas au-dessous de 24° à la station de Paris-Montsouris, ce qui constitue un record absolu (à cette époque) - il va sans dire qu'au cours de cette période, la sécheresse accable le milieu agricole, notamment dans des régions qui ne sont pas habituées à ce genre de phénomène (Normandie, Picardie et Bretagne).

Records quotidiens pour de nombreuses villes françaises >>

Photo de presse : Dusseldorf n'échappe pas à la sécheresse
Photo de l'Almanach d'événement météo du 2/7/1976

1976

Au cours de l'été 1976, on assiste à une situation très paradoxale - la sécheresse atteint des sommets dans tout le Nord-ouest alors que les régions Méditerranéennes ont droit à un temps plus humide que la moyenne - ceci est dû à la présence d'un anticyclone qui reste vissé sur l'Europe du Nord pendant plusieurs mois, lequel empêche les perturbations atlantique de circuler sur la France - les régions Méditerranéennes sont moins protégées par cet anticyclone, d'où la présence d'orages souvent violents. Du 22 juin au 8 juillet : 3ième vague de chaleur - entre le 23 juin et le 7 juillet (soient pendant 2 semaines consécutives), les températures atteignent ou dépassent 35° sur toutes les régions du Nord et du Nord-ouest - en revanche, la valeur maximale observée en France ne dépasse jamais 37° et on peut dire que ces très fortes chaleurs concernent le tiers du pays - à Paris, l'effet de ville maintient des températures très élevées en cours de nuit - le 4 juillet le minimum ne descend pas au-dessous de 24° à la station de Paris-Montsouris, ce qui constitue un record absolu (à cette époque) - il va sans dire qu'au cours de cette période, la sécheresse accable le milieu agricole, notamment dans des régions qui ne sont pas habituées à ce genre de phénomène (Normandie, Picardie et Bretagne).

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Photo de presse : Dusseldorf n'échappe pas à la sécheresse

2020

Depuis juin 2019, la France connait des températures moyennes mensuelles plus élevées que la normale (soit 13 mois consécutifs) !

2017

Début de la 3eme vague de chaleur de la saison - le 7 juillet, il fait 30°C sur 80% de la France (35°C et plus sur 17%) avec plus de 38°C au Luc (Var) et à Figari (Corse).

2014

Forts orages en Aquitaine - grêle sur le Béarn, puis dans l'Aveyron et les Pyrénées orientales.

2010

Fortes chaleurs et violents orages des Pyrénées au nord et chute brutale des températures (12 à 15° de moins en 24h)

2008

Vague de chaleur sur le sud-est, 35° à Grenoble

2007

Temps perturbé, inondations sur la Loire et la Haute-Loire

2006

Chaleur torride : 38° à Orange et 39° à Carpentras

2001

Chaleur écrasante

2000

Orage d'une violence extrême dans la Beauce (sud de Paris). Des grêlons plus gros qu'une orange perforent le toit d'une maison à Chevilly (Loiret).

1999

Très chaud

1998

Orages de grêle dans le Berry

1982

Canicule dans le sud du pays

1976

Canicule dans le Nord de la France

1973

Canicule dans le Sud

1972

Très frais

1970

Très frais

1961

Fortes chaleurs dans le Nord de la France

1952

Canicule

1946

Chaleur caniculaire

1927

Très frais

1903

Très chaud avec 34° à Paris

1897

Inondations dans le Midi, 14 morts à Auch

Photo de Guillaume SECHETHistory of the Weather Site Biarritz

Meteo-biarritz.com est le premier site météo essentiellement dédié à l'agglomération de Biarritz. Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-paris.com, météorologiste et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d'ouvrages sur les évènements climatiques). Ce site professionnel et de grande qualité est aussi très complet (grâce à des rubriques ludiques) et surtout très réactif. Il fait partie des 19 sites internet appartenant à meteo-villes.com. Les prévisions météo à 15 jours, totalement gratuites, sont expertisées par une équipe de professionnels qui suit la situation en permanence. Ainsi, en fonction de l'évolution de la situation, ils affinent au mieux leurs prévisions. La tendance météo saisonnière pour la France est également réactualisée très fréquemment. Ce site est aussi un portail météo pour le Pas basque en proposant : les webcams en direct, les données des stations météo en direct, les cartes de suivi des pluies et des nuages, les observations et la localisation des phénomènes météo dangereux sur la région, les suivis climatologiques, le climat du Pays Basque et les records ainsi que normales quotidiennes des températures à Biarritz.

 

Notre ville de BIARRITZ

Biarritz est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, la région Nouvelle-Aquitaine, et à 50 km de la ville espagnole de Saint-Sébastien.
Cette station balnéaire est l'une des plus prestigieuses de la côte Atlantique française.
L'océan, avec ses puissantes vagues, a fait de Biarritz un spot de surf réputé dans le monde entier.
Le gentilé de Biarritz est Biarrot (Biarròt en gascon, Biarriztar en basque).
La commune a pour devise : J'ai pour moi les vents, les astres et la mer.
Sa superficie est de 12 km² pour une altitude située entre 0 et 85m.
En 2020 sa population était de 25 885 habitants (résidents permanents).


Le climat de Biarritz est océanique. Il y fait assez chaud avec parfois des pluies très abondantes (cumul de 1483 mm) mais il y pleut moins souvent qu’à Brest (181 jours / an) et l'ensoleillement annuel moyen est de 1877 h. Les vagues réputées des surfeurs sont liées à la houle qui prend de l’ampleur par effet du Golfe de Gascogne dessiné en coin (comme une sorte d’entonnoir) et face aux vents d’ouest. Ainsi, les vagues parcourent toute l’Atlantique et viennent s’échouer en fin de course sur les côtes.


L'histoire de Biarritz : Station balnéaire réputée depuis le 19è siècle, elle était constituée d'un tout petit village de pêcheurs de baleine (dès le 11è siècle) quand Victor Hugo la découvrit en 1843. Il évoquait déjà le risque de la voir devenir une ville balnéaire. Le village était à l'origine constitué de deux centres de peuplement : l'un au quartier de l'église Saint-Martin et l'autre au port de pêche (Port-Vieux) défendu par le château de Belay ou Ferragus. Son blason montre une grande barque baleinière qui reste le symbole de la ville. La population est d'origine vasconne. Il est difficile de statuer clairement entre des racines basques, ou gasconnes. Biarritz faisait — d'un point de vue administratif — partie du Labourd, province basque, jusqu'en 1790. Le premier phare fut construit en 1650. Dès 1784, les bains de mer sont à la mode et Napoléon s'y baigna en 1808. L'impératrice Eugénie décida d'en faire sa villégiature après y avoir séjourné deux mois en 1854 et Napoléon III lui construisit un palais de forme de E. De cette histoire, Biarritz a gardé quelques immeubles caractéristiques comme une église orthodoxe à la coupole peinte en bleu à rapprocher des visites de l'aristocratie russe d'avant la Révolution russe . Créé en 1894, agrandi deux fois (1911 et 1926) et toujours vivant aujourd'hui, le grand magasin Biarritz Bonheur est à l'époque un temple du luxe et de la mode. Au début du XXe siècle, la majorité de ses employés parlent anglais. En 1940, durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands creusent le mur de l'Atlantique dans les falaises de Biarritz. Le 27 juin 1940, les troupes allemandes occupent la côte basque. Fin 1942, le capitaine de corvette Ludwig projette et conçoit avec l'Organisation Todt, l'incroyable poste de commandement du plateau de l'Atalaye codé BA 39-40. Il s'y installe jusqu'à la libération. Mais aucun débarquement ne se déroula à Biarritz. Le 17 mars 1944, la ville est tout de même bombardée par la deuxième vague de bombardiers de l'aviation alliée. En 1957, le scénariste américain Peter Viertel, de passage à Biarritz avec son épouse Deborah Kerr pour le tournage du film "Le Soleil se lève aussi", utilise une planche de surf qu'un ami a fait venir par avion de Californie. C'est le lancement de ce sport à Biarritz. Les premiers Biarrots s'essayent au surf et lancent une mode qui va durer en s'appuyant sur la qualité des vagues de la côte Atlantique. Aujourd'hui, la ville est devenue un des pôles européens et mondiaux de ce sport de glisse.


Les principaux centres d’intérêt de Biarritz sont : le rocher de la Vierge, la villa Eugénie (hôtel du Palais), la villa Natacha, le Casino, le phare, les crampottes (cabanes des pêcheurs) et bien entendu, le surf !