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Almanach du 25 Juillet

1983
Le mois de juillet 1983 est l'un des plus chauds jamais observés jusqu'à cette date - au Bourget, il s'agit du plus chaud depuis l'année 1859 - les 30° sont dépassé pendant près de 3 semaines (avec de courtes interruptions) sur les trois-quarts de la France. Du 9 au 31 juillet : très longue vague de chaleur. Dans la nuit du 17 au 18 juillet, les Pyrénées-Atlantiques sont ravagés par des orages de grêle d'une extrême violence - des grêlons gros comme des balles de ping-pong mitraillent Irrissary et St Palais - dans la nuit du 19 au 20 juillet, Dax est à son tour sinistrée par la grêle - la grêle sinistre également les vignes du Bordelais, de Bourgogne et d'Alsace. Les 21 et 22 juillet, on observe une véritable fournaise dans le sud-est - les températures atteignent 41° à Calvi, au Luc-en-Provence (Var) et à Carpentras, 40° à Lyon et Ambérieu, 39° à St Auban (Alpes-de-Haute-Provence) et Marseille et 36° au Puy (700m d'altitude). Le 25 juillet, Niort et Cognac sont ravagés par les orages - les rafales de vent dépassent 150 km/h et des camping sont détruits - on compte 3 morts et 10 blessés. Au cours des nuits du 25 au 26 juillet et du 26 au 27 juillet, les températures ne descendent pas en-dessous de 23° au Puy, 26° à Ambérieu, 27° à Toulon, 28° à Marseille et 29° à Calvi. Du 26 au 31 juillet, la canicule atteint des sommets - toute la moitié est du pays est touchée notamment le 31 juillet - il fait 42°5 à St Raphaël, 42° à Paray-le-monial (Allier), 41° à Vichy, Clermont-Ferrand et St-Etienne, 39° à Besançon, Mâcon, Mulhouse et St-Dizier, 38° à Bourg St Maurice (850m d'altitude) et 37° à Chamonix (1000m d'altitude) - gigantesques incendies au sud de la Corse.

Records quotidiens pour de nombreuses villes françaises >>

Photo : L'effet d'un orage (et peut-être d'une tornade) dans les Landes
Photo de l'Almanach d'événement météo du 25/7/1983

1983

Le mois de juillet 1983 est l'un des plus chauds jamais observés jusqu'à cette date - au Bourget, il s'agit du plus chaud depuis l'année 1859 - les 30° sont dépassé pendant près de 3 semaines (avec de courtes interruptions) sur les trois-quarts de la France. Du 9 au 31 juillet : très longue vague de chaleur. Dans la nuit du 17 au 18 juillet, les Pyrénées-Atlantiques sont ravagés par des orages de grêle d'une extrême violence - des grêlons gros comme des balles de ping-pong mitraillent Irrissary et St Palais - dans la nuit du 19 au 20 juillet, Dax est à son tour sinistrée par la grêle - la grêle sinistre également les vignes du Bordelais, de Bourgogne et d'Alsace. Les 21 et 22 juillet, on observe une véritable fournaise dans le sud-est - les températures atteignent 41° à Calvi, au Luc-en-Provence (Var) et à Carpentras, 40° à Lyon et Ambérieu, 39° à St Auban (Alpes-de-Haute-Provence) et Marseille et 36° au Puy (700m d'altitude). Le 25 juillet, Niort et Cognac sont ravagés par les orages - les rafales de vent dépassent 150 km/h et des camping sont détruits - on compte 3 morts et 10 blessés. Au cours des nuits du 25 au 26 juillet et du 26 au 27 juillet, les températures ne descendent pas en-dessous de 23° au Puy, 26° à Ambérieu, 27° à Toulon, 28° à Marseille et 29° à Calvi. Du 26 au 31 juillet, la canicule atteint des sommets - toute la moitié est du pays est touchée notamment le 31 juillet - il fait 42°5 à St Raphaël, 42° à Paray-le-monial (Allier), 41° à Vichy, Clermont-Ferrand et St-Etienne, 39° à Besançon, Mâcon, Mulhouse et St-Dizier, 38° à Bourg St Maurice (850m d'altitude) et 37° à Chamonix (1000m d'altitude) - gigantesques incendies au sud de la Corse.

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Photo : L'effet d'un orage (et peut-être d'une tornade) dans les Landes

2019

Journée la plus chaude jamais enregistrée en France (avant celle du 5 août 2003). De très nombreux records sont pulvérisées comme par exemple à Paris où il fait 42,7°C (contre 40,4°C le 28 juillet 1947). Lille pulvérise également son record de 3,7°C avec 41,3°C ! Il fait plus de 40°C jusqu’à Dunkerque, en Belgique, au Pays-Bas et en Allemagne ce qui n’était jamais arrivé à ces latitudes.

2013

Début d’une importante vague de chaleur, notamment en région Rhône-Alpes.

2013

37,8°C à Carpentras (84), 36,9°C à Toulouse Blagnac (31), 36,5°C à Montélimar (26)

2000

Tornade à Lamonzie (Dordogne)

1999

Chaud

1995

Canicule

1990

Canicule en Aquitaine

1985

Forte chaleur

1984

Vent de poussière sur Ajaccio, orages sur Brétigny

1983

Orages et tornades dans le Sud-ouest. Niort et Cognac sont ravagés avec des rafales à 150 km/h - des camping sont détruits. 3 morts et 10 blessés.

1982

Orages sur Toul

1977

Temps épouvantable sur la France

1949

Chaleur

1947

Canicule

1941

Canicule

1925

La série de violents orages se poursuit...

1911

Canicule

1907

Orages dans le Sud-ouest et le Centre

Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Biarritz

Meteo-biarritz.com est le premier site météo essentiellement dédié à l'agglomération de Biarritz. Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-paris.com, météorologiste et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d'ouvrages sur les évènements climatiques). Ce site professionnel et de grande qualité est aussi très complet (grâce à des rubriques ludiques) et surtout très réactif. Il fait partie des 19 sites internet appartenant à meteo-villes.com. Les prévisions météo à 15 jours, totalement gratuites, sont expertisées par une équipe de professionnels qui suit la situation en permanence. Ainsi, en fonction de l'évolution de la situation, ils affinent au mieux leurs prévisions. La tendance météo saisonnière pour la France est également réactualisée très fréquemment. Ce site est aussi un portail météo pour le Pas basque en proposant : les webcams en direct, les données des stations météo en direct, les cartes de suivi des pluies et des nuages, les observations et la localisation des phénomènes météo dangereux sur la région, les suivis climatologiques, le climat du Pays Basque et les records ainsi que normales quotidiennes des températures à Biarritz.

 

Notre ville de BIARRITZ

Biarritz est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, la région Nouvelle-Aquitaine, et à 50 km de la ville espagnole de Saint-Sébastien.
Cette station balnéaire est l'une des plus prestigieuses de la côte Atlantique française.
L'océan, avec ses puissantes vagues, a fait de Biarritz un spot de surf réputé dans le monde entier.
Le gentilé de Biarritz est Biarrot (Biarròt en gascon, Biarriztar en basque).
La commune a pour devise : J'ai pour moi les vents, les astres et la mer.
Sa superficie est de 12 km² pour une altitude située entre 0 et 85m.
En 2020 sa population était de 25 885 habitants (résidents permanents).


Le climat de Biarritz est océanique. Il y fait assez chaud avec parfois des pluies très abondantes (cumul de 1483 mm) mais il y pleut moins souvent qu’à Brest (181 jours / an) et l'ensoleillement annuel moyen est de 1877 h. Les vagues réputées des surfeurs sont liées à la houle qui prend de l’ampleur par effet du Golfe de Gascogne dessiné en coin (comme une sorte d’entonnoir) et face aux vents d’ouest. Ainsi, les vagues parcourent toute l’Atlantique et viennent s’échouer en fin de course sur les côtes.


L'histoire de Biarritz : Station balnéaire réputée depuis le 19è siècle, elle était constituée d'un tout petit village de pêcheurs de baleine (dès le 11è siècle) quand Victor Hugo la découvrit en 1843. Il évoquait déjà le risque de la voir devenir une ville balnéaire. Le village était à l'origine constitué de deux centres de peuplement : l'un au quartier de l'église Saint-Martin et l'autre au port de pêche (Port-Vieux) défendu par le château de Belay ou Ferragus. Son blason montre une grande barque baleinière qui reste le symbole de la ville. La population est d'origine vasconne. Il est difficile de statuer clairement entre des racines basques, ou gasconnes. Biarritz faisait — d'un point de vue administratif — partie du Labourd, province basque, jusqu'en 1790. Le premier phare fut construit en 1650. Dès 1784, les bains de mer sont à la mode et Napoléon s'y baigna en 1808. L'impératrice Eugénie décida d'en faire sa villégiature après y avoir séjourné deux mois en 1854 et Napoléon III lui construisit un palais de forme de E. De cette histoire, Biarritz a gardé quelques immeubles caractéristiques comme une église orthodoxe à la coupole peinte en bleu à rapprocher des visites de l'aristocratie russe d'avant la Révolution russe . Créé en 1894, agrandi deux fois (1911 et 1926) et toujours vivant aujourd'hui, le grand magasin Biarritz Bonheur est à l'époque un temple du luxe et de la mode. Au début du XXe siècle, la majorité de ses employés parlent anglais. En 1940, durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands creusent le mur de l'Atlantique dans les falaises de Biarritz. Le 27 juin 1940, les troupes allemandes occupent la côte basque. Fin 1942, le capitaine de corvette Ludwig projette et conçoit avec l'Organisation Todt, l'incroyable poste de commandement du plateau de l'Atalaye codé BA 39-40. Il s'y installe jusqu'à la libération. Mais aucun débarquement ne se déroula à Biarritz. Le 17 mars 1944, la ville est tout de même bombardée par la deuxième vague de bombardiers de l'aviation alliée. En 1957, le scénariste américain Peter Viertel, de passage à Biarritz avec son épouse Deborah Kerr pour le tournage du film "Le Soleil se lève aussi", utilise une planche de surf qu'un ami a fait venir par avion de Californie. C'est le lancement de ce sport à Biarritz. Les premiers Biarrots s'essayent au surf et lancent une mode qui va durer en s'appuyant sur la qualité des vagues de la côte Atlantique. Aujourd'hui, la ville est devenue un des pôles européens et mondiaux de ce sport de glisse.


Les principaux centres d’intérêt de Biarritz sont : le rocher de la Vierge, la villa Eugénie (hôtel du Palais), la villa Natacha, le Casino, le phare, les crampottes (cabanes des pêcheurs) et bien entendu, le surf !