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Bilan météo de juillet 2019 à Paris et en Ile-de-France

Nous vous proposons mensuellement un bilan climatologique du mois écoulé à Paris (données du Parc Montsouris) et en Ile-de-France sur les stations dites "principales". Voici celui du mois de juillet 2019.

Les déficits et les excédents pour la pluviométrie et les températures sont calculés par rapport aux moyennes établies sur la période 1981/2010. Les stations de Roissy, Orly, Trappes, Melun et Paris mesurent actuellement l'ensoleillement, mais seules les deux dernières disposent d'une série assez longue pour en obtenir une moyenne climatologique (période 1991/2010).
 

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A Paris, il est tombé seulement 19,7mm de pluie (déficit de -68%) au cours de deux toutes petites journées significativement pluvieuses (avec au moins 1mm) dont 12,8mm pour la seule journée du 26 juillet. Le cumul depuis le début de l'année s'établit à 327,6mm (déficit de -11%).

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N.B. : Le mois de juillet le plus sec à Paris depuis le début des relevés demeure celui de 1949 (6,2mm). Le plus humide date de juillet 2001 (203,8 mm).

Les principales stations météo de la région ont relevé des cumuls allant de 9mm à Orly jusqu'à 37,2mm à Roissy, et toutes sont très largement déficitaires (de -39% à Roissy jusqu'à -84% à Orly).

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A Paris, le soleil a brillé 338 heures et 18 minutes en juillet (+59%) soit le mois de juillet le plus ensoleillé depuis l'homogénéisation des mesures en 1991, devant juillet 2013 (306h). Néanmoins, le mois de juillet 1959 semble être toujours le record absolu. La durée totale depuis le 1er janvier s'établit à 1366,7 heures (+32%).

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N.B. : A Paris, si ce mois de juillet est devenu le plus ensoleillé depuis 1959, le plus nuageux reste celui de juillet 1998 (139,8h).

Les cinq stations météo de la région mesurant ce paramètre ont relevé de 273,4 heures de soleil à Trappes jusqu'à 345,4 heures à Orly, a priori toutes largement excédentaires et au niveau des records.

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Au parc Montsouris, la moyenne des températures minimales s'est élevée à 17,1°C (+1,3°C) et celle des températures maximales à 28,8°C (+3,6°C), d'où une moyenne mensuelle globale de 23,0°C (+2,5°C). Il s'agit du 5e mois de juillet le plus chaud depuis le début des relevés.

Les extrêmes du mois ont évolué entre 13,2°C au plus bas le 15 (le record demeure de 2,7°C le 1 juillet 1898 mais avec des conditions de mesure différentes) et une valeur maxi exceptionnelle et tout bonnement historique de 42,6°C l'après-midi du 25 (un nouveau record absolu tous mois confondus pour la capitale, au delà des 40,4°C du 28 juillet 1947).

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N.B: Sur Paris, le mois de juillet le plus chaud reste celui de 2006 (24.9°C), et le plus frais remonte à juillet 1919 (15,9°C) même si les mesures d'époque pour cette dernière n'étaient pas de la même fiabilité qu'aujourd'hui.

Les principales stations météo de la région ont relevé des moyennes mensuelles allant de 20,0°C à Pontoise jusqu'à 23,0°C à Paris Montsouris. Toutes les stations sont au dessus des moyennes, avec une anomalie de +1,4°C à Pontoise, et un maximum de +2,5°C sur Paris, portées en partie par la canicule de la fin de mois.

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Revoir les bilans de juin, mai, avril, mars, février, janvier 2019, décembre, novembre, octobre, septembre, août, juillet, juin, mai, avril, mars, février et janvier 2018, décembre, novembre, octobre, septembre, août, juillet, juin, mai, avril, mars 2017.

Retrouvez en outre les relevés de notre station météo située sur les toits de St Germain des Prés (6e arrondissement) en direct sur Météo-Paris.

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Photo de Guillaume SECHETHistoire du site Météo Biarritz

Meteo-biarritz.com est le premier site météo essentiellement dédié à l'agglomération de Biarritz. Il a été créé par Guillaume Séchet (webmaster de meteo-paris.com, météorologiste et ex-présentateur à La Chaîne Météo, spécialiste et auteurs d'ouvrages sur les évènements climatiques). Ce site professionnel et de grande qualité est aussi très complet (grâce à des rubriques ludiques) et surtout très réactif. Il fait partie des 19 sites internet appartenant à meteo-villes.com. Les prévisions météo à 15 jours, totalement gratuites, sont expertisées par une équipe de professionnels qui suit la situation en permanence. Ainsi, en fonction de l'évolution de la situation, ils affinent au mieux leurs prévisions. La tendance météo saisonnière pour la France est également réactualisée très fréquemment. Ce site est aussi un portail météo pour le Pas basque en proposant : les webcams en direct, les données des stations météo en direct, les cartes de suivi des pluies et des nuages, les observations et la localisation des phénomènes météo dangereux sur la région, les suivis climatologiques, le climat du Pays Basque et les records ainsi que normales quotidiennes des températures à Biarritz.

 

Notre ville de BIARRITZ

Biarritz est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, la région Nouvelle-Aquitaine, et à 50 km de la ville espagnole de Saint-Sébastien.
Cette station balnéaire est l'une des plus prestigieuses de la côte Atlantique française.
L'océan, avec ses puissantes vagues, a fait de Biarritz un spot de surf réputé dans le monde entier.
Le gentilé de Biarritz est Biarrot (Biarròt en gascon, Biarriztar en basque).
La commune a pour devise : J'ai pour moi les vents, les astres et la mer.
Sa superficie est de 12 km² pour une altitude située entre 0 et 85m.
En 2020 sa population était de 25 885 habitants (résidents permanents).


Le climat de Biarritz est océanique. Il y fait assez chaud avec parfois des pluies très abondantes (cumul de 1483 mm) mais il y pleut moins souvent qu’à Brest (181 jours / an) et l'ensoleillement annuel moyen est de 1877 h. Les vagues réputées des surfeurs sont liées à la houle qui prend de l’ampleur par effet du Golfe de Gascogne dessiné en coin (comme une sorte d’entonnoir) et face aux vents d’ouest. Ainsi, les vagues parcourent toute l’Atlantique et viennent s’échouer en fin de course sur les côtes.


L'histoire de Biarritz : Station balnéaire réputée depuis le 19è siècle, elle était constituée d'un tout petit village de pêcheurs de baleine (dès le 11è siècle) quand Victor Hugo la découvrit en 1843. Il évoquait déjà le risque de la voir devenir une ville balnéaire. Le village était à l'origine constitué de deux centres de peuplement : l'un au quartier de l'église Saint-Martin et l'autre au port de pêche (Port-Vieux) défendu par le château de Belay ou Ferragus. Son blason montre une grande barque baleinière qui reste le symbole de la ville. La population est d'origine vasconne. Il est difficile de statuer clairement entre des racines basques, ou gasconnes. Biarritz faisait — d'un point de vue administratif — partie du Labourd, province basque, jusqu'en 1790. Le premier phare fut construit en 1650. Dès 1784, les bains de mer sont à la mode et Napoléon s'y baigna en 1808. L'impératrice Eugénie décida d'en faire sa villégiature après y avoir séjourné deux mois en 1854 et Napoléon III lui construisit un palais de forme de E. De cette histoire, Biarritz a gardé quelques immeubles caractéristiques comme une église orthodoxe à la coupole peinte en bleu à rapprocher des visites de l'aristocratie russe d'avant la Révolution russe . Créé en 1894, agrandi deux fois (1911 et 1926) et toujours vivant aujourd'hui, le grand magasin Biarritz Bonheur est à l'époque un temple du luxe et de la mode. Au début du XXe siècle, la majorité de ses employés parlent anglais. En 1940, durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands creusent le mur de l'Atlantique dans les falaises de Biarritz. Le 27 juin 1940, les troupes allemandes occupent la côte basque. Fin 1942, le capitaine de corvette Ludwig projette et conçoit avec l'Organisation Todt, l'incroyable poste de commandement du plateau de l'Atalaye codé BA 39-40. Il s'y installe jusqu'à la libération. Mais aucun débarquement ne se déroula à Biarritz. Le 17 mars 1944, la ville est tout de même bombardée par la deuxième vague de bombardiers de l'aviation alliée. En 1957, le scénariste américain Peter Viertel, de passage à Biarritz avec son épouse Deborah Kerr pour le tournage du film "Le Soleil se lève aussi", utilise une planche de surf qu'un ami a fait venir par avion de Californie. C'est le lancement de ce sport à Biarritz. Les premiers Biarrots s'essayent au surf et lancent une mode qui va durer en s'appuyant sur la qualité des vagues de la côte Atlantique. Aujourd'hui, la ville est devenue un des pôles européens et mondiaux de ce sport de glisse.


Les principaux centres d’intérêt de Biarritz sont : le rocher de la Vierge, la villa Eugénie (hôtel du Palais), la villa Natacha, le Casino, le phare, les crampottes (cabanes des pêcheurs) et bien entendu, le surf !